hInk

Sombre marée piétonne déambulant dans les rues de la ville,

 A la recherche du renouveau parmi le neuf et démodé des soldes,

Qui renaît, éclaircie par les cornets couleur et prix ivoire tenus par la main et chéris tels des enfants.

L'autre jour, j'ai découvert la nouvelle série d'Ewan McGregor et Charley Boorman, Long Way Up.
Cette série fait suite à Long Way Round et Long Way Down.

Dans la première du nom, les deux compère reliaient Londres à New York en faisant le tour de la planète. D'où le "round"...
Tout le voyage se faisait à dos de BMW.

Dans la deuxième série, ils partaient du nord de l'Écosse (du point le plus au nord) et descendaient jusqu'au Cap, en Afrique du Sud. Ils allaient donc en bas, toujours sur les destriers bavarois.

Dans cette troisième série, ils remontent. Ils sont partis d'Ushuaia pour rejoindre Los Angeles.
Par contre, cette fois plus de BMW, le voyage se fait avec des Harley Davidson.
Ce choix s'est fait car c'est le seul constructeur moto qui pouvait produire des motos électriques (la technologie n'étant de manière générale pas assez avancée).

Jusqu'ici j'ai pu voir les trois permiers épisodes et c'est avec plaisir que je retrouve la même recette qui m'avait tant fait aimer les deux premières séries.
Si ce n'est que cette fois, le grand défi c'est de trouver un moyen de recharger les motos!
Je sens que ce sera vraiment très intéressant et je me réjouis de la suite. Surtout qu'ils ont intégré à leur voyage une dimension écologique, par leur choix de véhicule, mais aussi en allant voir des lieux qui s'inscrivent dans une démarche de développement durable.

Hormis le potentiel de dévertissement de la série et de son côté "vert", voir ces épisodes m'a surtout donné envie de revoir la première série!
Et comme j'ai quelques jours de vacances, j'en ai profité pour revoir les premiers épisodes.
En revoyant ces images, ce qui m'a le plus frappé, c'est le décalage technologique, dans le sens où depuis 2004 un énorme bond en avant a été fait.
Il n'y avait pas encore de GoPro, pas de Smartphones, pas internet comme maintenant. C'est assez marquant de voir cela, mais c'est toujours agréable de faire un saut dans le passé et de constater des évolutions.

Ça me fait du bien de revoir de vieilles images, ça me rend un peu nostalgique et c'est un sentiment que j'aime bien.
J'aime rêver au temps perdu, à comment c'était quand j'étais plus jeune. Je ne regrette pas forcément, c'est juste que j'aime prendre le temps de me souvenir et de me laisser envahir par ce sentiment.

C'est donc avec envie et plaisir que je redécouvre cette ancienne série !